jeudi 18 juillet 2013

JE SUIS

         
Amen, amen, je vous dis : Avant qu'Abraham fût, je suis (Jean 8:58)
Ces grandes questions on toujours tourmenté l'homme, et sont même à la base de la philosophie : qui suis-je, d'où suis-je, où vais-je ?
La Bible répond :
  • D'où suis-je ? de Quelqu'UN
  • Où vais-je ? vers Quelqu'UN
  • Qui suis-je ? JE SUIS, car Quelqu'UN vit en moi, et ce Quelqu'UN, c'est Jésus le messie, le Christ, le principe de tout, JE SUIS
Quelle est la différence entre quelqu'un qui a foi en Christ et une personne religieuse (quelle que soit sa religion) ?
Ce n'est pas une question de credo...
Ce n'est pas une question de doctrine...
Ce n'est pas une question de culture religieuse...
Ce n'est pas une question de dénomination religieuse...
Ce n'est pas une question d'être né dans une religion...
Ce n'est pas une question d'adhésion à une religion...
Ce n'est pas une question de baptême...
...mais, celui qui a foi en Christ a Quelqu'UN
Ce Quelqu'UN, Christ, est celui qui nous délivre : plus de conditionnement, plus de dépendance, plus de peur : si ton coeur te condamne, Lui est plus grand que ton coeur (1 Jean 3:20)
Avec Lui je ne pèche plus : pécher signifie passer à côté du Chemin, à côté de la Vérité, à côté de la Vie
Pécher signifie passer à côté des bénédictions : si Lui est en moi, je suis béni
Dès lors...
...plus aucune condamnation ne repose sur moi (Rom 8:1)
...je suis libre car l'Esprit du Seigneur est en moi (II Cor 3:17)
...Celui qui est en moi est plus grand que celui qui est dans le monde (I Jean 4:4)
...Christ prend mes infirmités et se charge de mes maladies (Mat 8:17)
...je peux me décharger sur Lui de tous mes soucis car Il prend soin de moi (I Pi 5:7)
...Dieu pourvoit à tous mes besoins (Phil 4:19)
...Dieu me donne un esprit de force, d'amour et de sagesse (II Tim 1:7)
...je puis tout par Lui, qui me fortifie (Phil 4:13)
...Dieu me fait toujours triompher en Christ (II Cor 2:14)
...tout concourt à mon bien (Rom 8:28)
...je sais qu'aucune épreuve ne me saisit qui ne soit humaine et supportable (I Corinthiens 10:13)
...je peux regarder comme joie toute entière lorsque je tombe dans diverses épreuves (Jacques 1:2)

La foi, ce mystère


Et il dit : "Qui es-tu, Seigneur ?" Actes 9, v. 5.
Grâce au miracle de la Rédemption, Saul de Tarse, Pharisien ardent et opiniâtre, fut en une seconde transformé en humble esclave, dévoué au Seigneur Jésus.
Ce qui peut s'expliquer n'a rien de miraculeux. Lorsque nous comprenons comment les choses se passent, nous pouvons les ajuster à nos désirs. C'est pourquoi tout naturellement nous cherchons à comprendre. L'obéissance n'est pas une chose naturelle, et la désobéissance n'est pas forcément un péché. Il n'y a dans l'obéissance en elle-même aucune vertu morale, à moins qu'on reconnaisse chez celui qui donne les ordres une autorité supérieure. La désobéissance peut être le moyen de s'affranchir d'une autorité abusive. Quand un homme dit à un autre : "Il faut... tu dois..." il tend à l'asservir et à l'éloigner de Dieu. L'homme en obéissant devient esclave, à moins qu'il ne discerne par-delà l'autorité de l'homme, celle d'un Dieu saint auquel il se soumet.
Bien des personnes ne commencent à se tourner vers Dieu que lorsqu'elles rejettent leurs traditions religieuses. Car il n'y a qu'un seul Maître légitime du coeur humain et ce n'est pas la religion, mais Jésus-Christ. Mais malheur à moi si, le voyant devant moi, je lui dis : "Non, je ne te veux pas!" II n'insistera pas pour que j'obéisse, mais en refusant j'aurai commencé à signer l'arrêt de mort du Fils de Dieu dans mon coeur. Lorsque je m'oppose à Jésus-Christ, en lui disant : "Je refuse", il n'insistera pas. Mais je tourne le dos à la puissance créatrice de sa Rédemption. La grâce de Dieu ne s'inquiète pas de savoir à quel point je suis corrompu, pourvu que je vienne à la lumière, mais malheur à moi si je tourne le dos à la lumière! (voir Jean 3, v. 19 à 21).