mardi 27 août 2013
la Parole de Dieu abonde en conseils pour rester concentré et persévére
(1) Mettez la vision par écrit
LA BALLE EST DANS NOTRE CAMP
( JACQUES 3: 5-6 De même, la langue est un petit membre, et elle se
vante de grandes choses. Voici, comme un petit feu peut embraser une
grande forêt! La langue aussi est un feu; c'est le monde de l'iniquité.
La langue est placée parmi nos membres, souillant tout le corps, et
enflammant le cours de la vie, étant elle-même enflammée par la
géhenne.)
Le poète Ibn Zuhair disait: "L'Homme ne vaut que par
sa langue et son coeur. Le reste n'est qu'un méprisable édifice de chair
arrosé de sang." Pour les peuples de civilisation orale où la parole
donnée est une valeur refuge, voilà une déclaration dont la résonance
trouve son écho dans nos coeurs et dans nos esprits.
En Afrique, la
parole est un art sublimé par les griots, ces professionnels qui savent
enthousiasmer les foules, bâtir la renommée d'un bienfaiteur ou détruire
à jamais un ennemi.
Certes, tout le monde n'a pas vocation
d'orateur de talent. Mais il est toujours utile de savoir manier cette
arme redoutable. En effet, elle peut nous hisser au sommet de la
pyramide ou nous faire piétiner au bas de l'échelle.
En définissant
notre humanité, l'expression verbale est ce qui nous relie au monde,
d'où l'importance d'en faire son allié. Car en affaires, comme dans la
vie, communiquer est un besoin, une nécessité comme boire, manger, se
vêtir et se soigner. Et bien communique est un sésame qui ouvre les
portes les plus hermétiques.
Ce cadeau du ciel n'est pas donné à
tout le monde. Cependant quel que soit notre âge, notre statut social ou
notre mode de vie, il n'est jamais trop tard pour s'approprier cet art,
qui comme tous les autres se travaille!
Le courant ne passe-t-il pas avec l'entourage?
Ne cherchons pas le coupable: la mauvaise communication est toute
désignée. Un mot de trop suffit pour envenimer ou détériorer une
relation. Les irascibles, grands perdants dans toute entreprise de
communication en font régulièrement les frais. Cependant, ne nous
méprenons pas sur la férocité des mots.
Derrière toute escalade verbale se cache une grande vulnérabilité.
La "soupe au lait" explose, la flegmatique affiche un calme olympien,
alors qu'elle boue de l'intérieur. Mais toutes deux souffrent d'un
déficit de communication. Dans les deux cas, le message est inaudible.
Les cris de l'une couvrent sa voix, tandis que le silence de l'autre est
une flèche empoisonnée qui pourrit son existence et blesse
l'interlocuteur.
Les handicapés de la communication se recrutent
davantage au sein des couples ou chacun s'acharne à vouloir changer
l'autre, oubliant ainsi que nous avons toujours les qualités de nos
défauts, et les défauts de nos qualités. Alors pour éviter les
équivoques et parer à toute éventualité, acceptons de reconnaître notre
part de responsabilité dans tous les conflits qui nous opposent aux
autres. Un message est-il mal libellé? La friction est inévitable.
Pour gagner l'autre à notre cause, une écoute est indispensable. Or,
chacun n'écoutant que ce qu'il a envie d'entendre, prodiguer des éloges
sincères aide à véhiculer le message, surtout s'il est immédiatement
suivi d'un commentaire positif et réaliste.
Car qu'il soit riche ou
pauvre, brillant ou médiocre, ouvert ou renfrogné...le personnage en
face de nous est à notre image. En attendant de déchiffrer son
interlocuteur, il avance à pas feutrés dans sa tenue de camouflage. Mais
derrière les multiples masques qu'il arbore se cache la petite fille ou
le petit garçon effrayé que nous n'avons jamais cessé d'être. Et cet
enfant que nous hébergeons est en quête permanente d'amour. Une fois que
nous avons intégré cette vérité, il sera plus aisé d'user et abuser des
paroles aimantes, rassurantes, structurantes dont la magie développe
chez l'autre, un grand sens de responsabilité, et l'obligation de se
montrer aimable. Comme le veut le dicton "l'amour fait pousser des
ailes!".
En fait, il ne tient qu'à nous d'instaurer la paix, la
concorde dans nos foyers. Auparavant nous devons accepter de laisser
chacun être ce qu'il est. Après tout, lorsque nous l'avons connu, nous
l'avons aimé sans condition.
Il n' y a pas d'autre méthode pour changer l'autre que de changer soi-même.
Vous voyez bien, la balle est vraiment dans notre camp!
Moi d'une part... Lui d'autre part...
Moi d'une part, je vous immerge dans l'eau pour votre métamorphose, Lui d'autre
part,... vous immergera dans l'Esprit Saint et dans le feu. Matthieu 3, v. 11.
Y a-t-il eu un moment dans ma vie où j'ai pu dire: "Moi d'une part...,
mais Lui d'autre part... ?" Il le faut pourtant pour que je puisse
comprendre ce qu'est le baptême du Saint-Esprit. "Moi d'une part..."
je suis au bout de mes capacités, je suis devant l'impossible. "Mais Lui
d'autre part..." il entre en scène à ce moment, il fait ce que Lui seul
peut faire. Suis-je prêt pour Sa Venue ? Jésus ne peut pas venir si je n'ai pas
déblayé le chemin devant lui, si je n'ai pas mis de côté tout ce qui est en
moi, le bien comme le mal, le mal comme le bien. Suis-je prêt à le laisser
projeter La Lumière sur tous mes péchés ? C'est là justement qu'il vient à moi.
Là où je me reconnais coupable, il se donne à moi. Là où je me crois sans
reproche, il s'éloigne.
La métamorphose de la pensée n'amène pas tant la conviction du péché que le
sentiment d'une incroyable indignité. Quand je me repens, je sens que je ne
suis capable de rien de bon; je ne suis même pas digne de Lui porter ses
sandales. Me suis-je vraiment repenti de cette façon ? Ou subsiste-t-il en moi comme
une vague idée que je puis être bon à quelque chose ? Tant que ma métamorphose
de la pensée n'est pas radicale, Dieu ne peut pas entrer dans ma vie.
"Lui d'autre part vous immergera dans l'Esprit Saint et dans le feu."
Jean ne parle pas d'une expérience, d'une impression que nous éprouverions,
mais d'une action de Jésus-Christ : "Lui vous immergera..." La seule
impression consciente de ceux qui reçoivent le baptême du Saint-Esprit, c'est
celle de leur absolue indignité.
"Moi d'une part..." j'étais ce que j'étais, bon à rien. "Lui
d'autre part..." est venu, et le miracle s'est produit. Laissez-Le
seulement agir en vous
Y a-t-il eu un moment dans ma vie où j'ai pu dire: "Moi d'une part..., mais Lui d'autre part... ?" Il le faut pourtant pour que je puisse comprendre ce qu'est le baptême du Saint-Esprit. "Moi d'une part..." je suis au bout de mes capacités, je suis devant l'impossible. "Mais Lui d'autre part..." il entre en scène à ce moment, il fait ce que Lui seul peut faire. Suis-je prêt pour Sa Venue ? Jésus ne peut pas venir si je n'ai pas déblayé le chemin devant lui, si je n'ai pas mis de côté tout ce qui est en moi, le bien comme le mal, le mal comme le bien. Suis-je prêt à le laisser projeter La Lumière sur tous mes péchés ? C'est là justement qu'il vient à moi. Là où je me reconnais coupable, il se donne à moi. Là où je me crois sans reproche, il s'éloigne.
La métamorphose de la pensée n'amène pas tant la conviction du péché que le sentiment d'une incroyable indignité. Quand je me repens, je sens que je ne suis capable de rien de bon; je ne suis même pas digne de Lui porter ses sandales. Me suis-je vraiment repenti de cette façon ? Ou subsiste-t-il en moi comme une vague idée que je puis être bon à quelque chose ? Tant que ma métamorphose de la pensée n'est pas radicale, Dieu ne peut pas entrer dans ma vie.
"Lui d'autre part vous immergera dans l'Esprit Saint et dans le feu." Jean ne parle pas d'une expérience, d'une impression que nous éprouverions, mais d'une action de Jésus-Christ : "Lui vous immergera..." La seule impression consciente de ceux qui reçoivent le baptême du Saint-Esprit, c'est celle de leur absolue indignité.
"Moi d'une part..." j'étais ce que j'étais, bon à rien. "Lui d'autre part..." est venu, et le miracle s'est produit. Laissez-Le seulement agir en vous
Moi d'une part... Lui d'autre part...
Moi d'une part, je vous immerge dans l'eau pour votre métamorphose, Lui
d'autre part,... vous immergera dans l'Esprit Saint et dans le feu.
Matthieu 3, v. 11.
Y a-t-il eu un moment dans ma vie où j'ai
pu dire: "Moi d'une part..., mais Lui d'autre part... ?" Il le faut
pourtant pour que je puisse comprendre ce qu'est le baptême du
Saint-Esprit. "Moi d'une part..." je suis au bout de mes capacités, je
suis devant l'impossible. "Mais Lui d'autre part..." il entre en scène à
ce moment, il fait ce que Lui seul peut faire. Suis-je prêt pour Sa
Venue ? Jésus ne peut pas venir si je n'ai pas déblayé le chemin devant
lui, si je n'ai pas mis de côté tout ce qui est en moi, le bien comme le
mal, le mal comme le bien. Suis-je prêt à le laisser projeter La
Lumière sur tous mes péchés ? C'est là justement qu'il vient à moi. Là
où je me reconnais coupable, il se donne à moi. Là où je me crois sans
reproche, il s'éloigne.
La
métamorphose de la pensée n'amène pas tant la conviction du péché que le
sentiment d'une incroyable indignité. Quand je me repens, je sens que
je ne suis capable de rien de bon; je ne suis même pas digne de Lui
porter ses sandales. Me suis-je vraiment repenti de cette façon ? Ou
subsiste-t-il en moi comme une vague idée que je puis être bon à quelque
chose ? Tant que ma métamorphose de la pensée n'est pas radicale, Dieu
ne peut pas entrer dans ma vie.
"Lui d'autre part vous
immergera dans l'Esprit Saint et dans le feu." Jean ne parle pas d'une
expérience, d'une impression que nous éprouverions, mais d'une action de
Jésus-Christ : "Lui vous immergera..." La seule impression consciente
de ceux qui reçoivent le baptême du Saint-Esprit, c'est celle de leur
absolue indignité.
"Moi d'une part..." j'étais ce que j'étais,
bon à rien. "Lui d'autre part..." est venu, et le miracle s'est produit.
Laissez-Le seulement agir en vous.
Vivre et agir
Marchez pendant que vous avez La Lumière, de peur que les ténèbres ne vous surprennent. Jean 12, v. 35.
Chaque fois que Dieu vous accorde un moment d'inspiration, il vous faut mettre en pratique à l'instant même ce que vous venez de recevoir, sans quoi la lumière qui vous est apparue se changera en ténèbres, "Si ta lumière intérieure est elle-même ténèbres, dans quelles ténèbres n'es-tu pas!" Dès l'instant que vous laissez tomber la nécessité de la sanctification ou tout autre point sur lequel Dieu vous a éclairé, votre vie spirituelle se décompose peu à peu. Appliquez sans cesse chaque vérité que vous saisissez, appliquez-la dans tous les domaines, sans quoi chaque lumière que vous avez reçue deviendra pour vous une malédiction.
La personne sur laquelle on peut le moins agir, c'est celle qui, étant en possession d'une expérience chrétienne dont elle est contente et dont elle se contente, y revient sans cesse avec une satisfaction bourgeoise, et ne la met jamais en pratique. Vous dites que vous êtes sanctifié, montrez-le. Une expérience qui ne se manifeste pas au dehors n'est pas une expérience authentique. Méfiez-vous de toute croyance qui tend à vous rendre indulgent pour vous-même. Elle vient de Satan, si bonne apparence qu'elle puisse avoir.
Christ doit se manifester dans nos moindres actions. "Si votre moralité, dit Jésus, ne surpasse pas celle des Scribes et des Pharisiens,..." Autrement dit, votre moralité doit être supérieure à celle des gens qui affichent la plus haute moralité. Vous avez beau connaître sur le bout du doigt la doctrine de la sanctification, l'essentiel est de l'appliquer. L'Expiation est la norme suprême, d'après laquelle nous devons régler tous les détails de notre vie, à tous les points de vue.
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