mardi 27 août 2013

la Parole de Dieu abonde en conseils pour rester concentré et persévére



(1) Mettez la vision par écrit
"L'Éternel me répondit en ces termes : Écris une vision, grave-la sur les tablettes, afin qu'on la lise couramment. Car c'est une vision dont l'échéance est fixée, elle aspire à son terme, elle ne décevra pas. Si elle tarde, attends-la, car elle s'accomplira certainement, elle ne sera pas différée" (Habacuc 2.2-3). Autrement dit, ne vous inquiétez pas quant à l'échéance de Dieu, parce que, si vous ne baissez pas les bras, votre récompense viendra. Et je peux vous dire par expérience personnelle que c'est vrai. Notez vos victoires. Tenez un livre du souvenir, où vous inscrirez tous les bienfaits de Dieu envers vous. Ce seront autant d'armes que vous pourrez utiliser quand vous traverserez un passage difficile.
(2) Énoncez la vision à voix haute
Les paroles ont une puissance de création. Dans Genèse 1.3, Dieu a dit : "Que la lumière soit !" et la lumière fut. Nous devons parfois ouvrir notre bouche au sens propre et énoncer nos rêves et nos visions à voix haute. Si le diable a ouvert sa bouche, ouvrez aussi la vôtre ! Prenez l'habitude de dire : "Si Dieu dit que je suis capable de faire quelque chose, c'est vrai. Peu m'importe le temps qu'il faudra. Je n'abandonnerai pas. Je ne renoncerai pas. Je vais avoir une vision de Dieu." Rappelez-vous que vous vous battez en tant que vainqueurs, et non pour le devenir (1 Corinthiens 15.57).
(3)Remotivez-vous
Dans 2 Timothée 1.6, Paul exhorte Timothée, son jeune protégé, à ranimer la flamme qui est en lui afin d'annoncer l'Évangile de Christ. Ne sous-estimez pas l'efficacité d'une vision que l'on garde devant ses yeux, spirituellement et physiquement. Prenez le temps de vous arrêter pour ranimer votre rêve. Remotivez-vous. Retrouvez votre foi. Sachez qui vous êtes en Christ.

LA BALLE EST DANS NOTRE CAMP

( JACQUES 3: 5-6 De même, la langue est un petit membre, et elle se vante de grandes choses. Voici, comme un petit feu peut embraser une grande forêt! La langue aussi est un feu; c'est le monde de l'iniquité. La langue est placée parmi nos membres, souillant tout le corps, et enflammant le cours de la vie, étant elle-même enflammée par la géhenne.)

Le poète Ibn Zuhair disait: "L'Homme ne vaut que par sa langue et son coeur. Le reste n'est qu'un méprisable édifice de chair arrosé de sang." Pour les peuples de civilisation orale où la parole donnée est une valeur refuge, voilà une déclaration dont la résonance trouve son écho dans nos coeurs et dans nos esprits.
En Afrique, la parole est un art sublimé par les griots, ces professionnels qui savent enthousiasmer les foules, bâtir la renommée d'un bienfaiteur ou détruire à jamais un ennemi.
Certes, tout le monde n'a pas vocation d'orateur de talent. Mais il est toujours utile de savoir manier cette arme redoutable. En effet, elle peut nous hisser au sommet de la pyramide ou nous faire piétiner au bas de l'échelle.
En définissant notre humanité, l'expression verbale est ce qui nous relie au monde, d'où l'importance d'en faire son allié. Car en affaires, comme dans la vie, communiquer est un besoin, une nécessité comme boire, manger, se vêtir et se soigner. Et bien communique est un sésame qui ouvre les portes les plus hermétiques.
Ce cadeau du ciel n'est pas donné à tout le monde. Cependant quel que soit notre âge, notre statut social ou notre mode de vie, il n'est jamais trop tard pour s'approprier cet art, qui comme tous les autres se travaille!
Le courant ne passe-t-il pas avec l'entourage?
Ne cherchons pas le coupable: la mauvaise communication est toute désignée. Un mot de trop suffit pour envenimer ou détériorer une relation. Les irascibles, grands perdants dans toute entreprise de communication en font régulièrement les frais. Cependant, ne nous méprenons pas sur la férocité des mots.
Derrière toute escalade verbale se cache une grande vulnérabilité.
La "soupe au lait" explose, la flegmatique affiche un calme olympien, alors qu'elle boue de l'intérieur. Mais toutes deux souffrent d'un déficit de communication. Dans les deux cas, le message est inaudible. Les cris de l'une couvrent sa voix, tandis que le silence de l'autre est une flèche empoisonnée qui pourrit son existence et blesse l'interlocuteur.
Les handicapés de la communication se recrutent davantage au sein des couples ou chacun s'acharne à vouloir changer l'autre, oubliant ainsi que nous avons toujours les qualités de nos défauts, et les défauts de nos qualités. Alors pour éviter les équivoques et parer à toute éventualité, acceptons de reconnaître notre part de responsabilité dans tous les conflits qui nous opposent aux autres. Un message est-il mal libellé? La friction est inévitable.
Pour gagner l'autre à notre cause, une écoute est indispensable. Or, chacun n'écoutant que ce qu'il a envie d'entendre, prodiguer des éloges sincères aide à véhiculer le message, surtout s'il est immédiatement suivi d'un commentaire positif et réaliste.
Car qu'il soit riche ou pauvre, brillant ou médiocre, ouvert ou renfrogné...le personnage en face de nous est à notre image. En attendant de déchiffrer son interlocuteur, il avance à pas feutrés dans sa tenue de camouflage. Mais derrière les multiples masques qu'il arbore se cache la petite fille ou le petit garçon effrayé que nous n'avons jamais cessé d'être. Et cet enfant que nous hébergeons est en quête permanente d'amour. Une fois que nous avons intégré cette vérité, il sera plus aisé d'user et abuser des paroles aimantes, rassurantes, structurantes dont la magie développe chez l'autre, un grand sens de responsabilité, et l'obligation de se montrer aimable. Comme le veut le dicton "l'amour fait pousser des ailes!".
En fait, il ne tient qu'à nous d'instaurer la paix, la concorde dans nos foyers. Auparavant nous devons accepter de laisser chacun être ce qu'il est. Après tout, lorsque nous l'avons connu, nous l'avons aimé sans condition.
Il n' y a pas d'autre méthode pour changer l'autre que de changer soi-même.
Vous voyez bien, la balle est vraiment dans notre camp!

Moi d'une part... Lui d'autre part...

Moi d'une part, je vous immerge dans l'eau pour votre métamorphose, Lui d'autre part,... vous immergera dans l'Esprit Saint et dans le feu. Matthieu 3, v. 11.

Y a-t-il eu un moment dans ma vie où j'ai pu dire: "Moi d'une part..., mais Lui d'autre part... ?" Il le faut pourtant pour que je puisse comprendre ce qu'est le baptême du Saint-Esprit. "Moi d'une part..." je suis au bout de mes capacités, je suis devant l'impossible. "Mais Lui d'autre part..." il entre en scène à ce moment, il fait ce que Lui seul peut faire. Suis-je prêt pour Sa Venue ? Jésus ne peut pas venir si je n'ai pas déblayé le chemin devant lui, si je n'ai pas mis de côté tout ce qui est en moi, le bien comme le mal, le mal comme le bien. Suis-je prêt à le laisser projeter La Lumière sur tous mes péchés ? C'est là justement qu'il vient à moi. Là où je me reconnais coupable, il se donne à moi. Là où je me crois sans reproche, il s'éloigne.

La métamorphose de la pensée n'amène pas tant la conviction du péché que le sentiment d'une incroyable indignité. Quand je me repens, je sens que je ne suis capable de rien de bon; je ne suis même pas digne de Lui porter ses sandales. Me suis-je vraiment repenti de cette façon ? Ou subsiste-t-il en moi comme une vague idée que je puis être bon à quelque chose ? Tant que ma métamorphose de la pensée n'est pas radicale, Dieu ne peut pas entrer dans ma vie.

"Lui d'autre part vous immergera dans l'Esprit Saint et dans le feu." Jean ne parle pas d'une expérience, d'une impression que nous éprouverions, mais d'une action de Jésus-Christ : "Lui vous immergera..." La seule impression consciente de ceux qui reçoivent le baptême du Saint-Esprit, c'est celle de leur absolue indignité.

"Moi d'une part..." j'étais ce que j'étais, bon à rien. "Lui d'autre part..." est venu, et le miracle s'est produit. Laissez-Le seulement agir en vous

Moi d'une part... Lui d'autre part...


Moi d'une part, je vous immerge dans l'eau pour votre métamorphose, Lui d'autre part,... vous immergera dans l'Esprit Saint et dans le feu. Matthieu 3, v. 11.

Y a-t-il eu un moment dans ma vie où j'ai pu dire: "Moi d'une part..., mais Lui d'autre part... ?" Il le faut pourtant pour que je puisse comprendre ce qu'est le baptême du Saint-Esprit. "Moi d'une part..." je suis au bout de mes capacités, je suis devant l'impossible. "Mais Lui d'autre part..." il entre en scène à ce moment, il fait ce que Lui seul peut faire. Suis-je prêt pour Sa Venue ? Jésus ne peut pas venir si je n'ai pas déblayé le chemin devant lui, si je n'ai pas mis de côté tout ce qui est en moi, le bien comme le mal, le mal comme le bien. Suis-je prêt à le laisser projeter La Lumière sur tous mes péchés ? C'est là justement qu'il vient à moi. Là où je me reconnais coupable, il se donne à moi. Là où je me crois sans reproche, il s'éloigne.

La métamorphose de la pensée n'amène pas tant la conviction du péché que le sentiment d'une incroyable indignité. Quand je me repens, je sens que je ne suis capable de rien de bon; je ne suis même pas digne de Lui porter ses sandales. Me suis-je vraiment repenti de cette façon ? Ou subsiste-t-il en moi comme une vague idée que je puis être bon à quelque chose ? Tant que ma métamorphose de la pensée n'est pas radicale, Dieu ne peut pas entrer dans ma vie.

"Lui d'autre part vous immergera dans l'Esprit Saint et dans le feu." Jean ne parle pas d'une expérience, d'une impression que nous éprouverions, mais d'une action de Jésus-Christ : "Lui vous immergera..." La seule impression consciente de ceux qui reçoivent le baptême du Saint-Esprit, c'est celle de leur absolue indignité.

"Moi d'une part..." j'étais ce que j'étais, bon à rien. "Lui d'autre part..." est venu, et le miracle s'est produit. Laissez-Le seulement agir en vous.

Vivre et agir


Marchez pendant que vous avez La Lumière, de peur que les ténèbres ne vous surprennent. Jean 12, v. 35.
Chaque fois que Dieu vous accorde un moment d'inspiration, il vous faut mettre en pratique à l'instant même ce que vous venez de recevoir, sans quoi la lumière qui vous est apparue se changera en ténèbres, "Si ta lumière intérieure est elle-même ténèbres, dans quelles ténèbres n'es-tu pas!" Dès l'instant que vous laissez tomber la nécessité de la sanctification ou tout autre point sur lequel Dieu vous a éclairé, votre vie spirituelle se décompose peu à peu. Appliquez sans cesse chaque vérité que vous saisissez, appliquez-la dans tous les domaines, sans quoi chaque lumière que vous avez reçue deviendra pour vous une malédiction.
La personne sur laquelle on peut le moins agir, c'est celle qui, étant en possession d'une expérience chrétienne dont elle est contente et dont elle se contente, y revient sans cesse avec une satisfaction bourgeoise, et ne la met jamais en pratique. Vous dites que vous êtes sanctifié, montrez-le. Une expérience qui ne se manifeste pas au dehors n'est pas une expérience authentique. Méfiez-vous de toute croyance qui tend à vous rendre indulgent pour vous-même. Elle vient de Satan, si bonne apparence qu'elle puisse avoir.
Christ doit se manifester dans nos moindres actions. "Si votre moralité, dit Jésus, ne surpasse pas celle des Scribes et des Pharisiens,..." Autrement dit, votre moralité doit être supérieure à celle des gens qui affichent la plus haute moralité. Vous avez beau connaître sur le bout du doigt la doctrine de la sanctification, l'essentiel est de l'appliquer. L'Expiation est la norme suprême, d'après laquelle nous devons régler tous les détails de notre vie, à tous les points de vue.