16:17 Et le septième versa sa coupe vers l'air, et du
Sanctuaire, d'auprès du trône, il sortit une voix grande disant : c'en est
fait! 16:18 Et il y eut des éclairs, et des voix et des tonnerres; et il y eut
un grand séisme, tel qu'il n'y en a pas eu depuis que l'homme a paru sur la
terre, un pareil séisme, aussi grand! 16:19 Et la grande ville devint en trois
morceaux, et les villes des nations tombèrent. Et Babylone la grande fut
remémorée en face de Dieu, pour lui donner la coupe du vin de la fureur de sa
colère. 16:20 Et chaque île s'enfuit, et les montagnes ne furent plus trouvées.
16:21 Et une grande grêle, comme pesant un talent, descend hors du ciel sur les
hommes; et les hommes blasphémèrent Dieu pour cette plaie de grêle, car grande
est cette plaie, extrêmement.
7 signifie perfection, accomplissement : vous pouvez chercher à qualifier chaque coupe par son numéro, à la lumière de la signification des chiffres et nombres de la Bible .
7 signifie perfection, accomplissement : vous pouvez chercher à qualifier chaque coupe par son numéro, à la lumière de la signification des chiffres et nombres de la Bible .
Septième : la séquence terrestre est terminée, le
jugement est accompli : c'en est fait!
Vers l'air : c'est dans l'esprit humain que tout se joue, là où réside le libre arbitre. Satan est le prince de la puissance de l'air, mais l'Esprit de Dieu est plus fort : quel camp avons-nous choisi ?
Les éclairs sont des flashes dans notre nuit, qui nous révèlent qu'une autre réalité, le Ciel de Dieu, existe - mais il existe aussi un pseudo-ciel...
Les voix sont celles des prophètes qui nous réveillent, et de notre conscience qui capte cet appel au réveil - mais ici c'est déjà trop tard...
Les tonnerres nous réveillent de notre somnolence - mais ici le réveil est rude...
Un grand séisme : la vérité qui secoue, qu'on s'est toujours refusé de voir face à face, est là - c'est le réveil tardif, la réalité s'impose - mais trop tard...
Tel qu'il n'y en a pas eu depuis que l'homme a paru sur la terre, un pareil séisme, aussi grand! : la conscience d'exister, qui survient à l'âge de 7 ans, est un grand séisme. Mais ce séisme est le plus grand de tous, de se trouver face à la réalité dans toutes ses dimensions.
On dit : Dieu nous prend comme nous sommes - oui, mais pour nous transformer...! Ici, il prend effectivement la grande ville telle qu'elle est, en trois morceaux (notre réalité : nous sommes corps/âme/esprit), mais non-régénérée : hommes se suffisant à eux-mêmes, cloisonnements entre corps/âme/esprit, d'où systèmes, sectes, etc. - et comme il est trop tard (jugement/tri), c'est Sa colère qui accueille la grande ville.
Notre réalité : tout en étant en plein dans le monde (mer), on est égoïstement installé dans notre chez-soi (île) - mais celui-ci s'éloigne, et il n'y a plus de refuge (montagnes). La bénédiction (eau) se change en malédiction (grêle) à cause de la froideur (le froid vient du nord, symbole de jugement).
Un Talent : charge que devrait assumer un homme béni, qui ici devient un poids de malédiction.
Tout au long de ce chapitre les hommes blasphèment - refusent d'obéir - alors que ce jugement/tri (en fait c'est eux qui se jugent eux-mêmes...) est le dernier : ils sont donc définitivement perdus, et ce texte doit nous servir d'avertissement.
Vers l'air : c'est dans l'esprit humain que tout se joue, là où réside le libre arbitre. Satan est le prince de la puissance de l'air, mais l'Esprit de Dieu est plus fort : quel camp avons-nous choisi ?
Les éclairs sont des flashes dans notre nuit, qui nous révèlent qu'une autre réalité, le Ciel de Dieu, existe - mais il existe aussi un pseudo-ciel...
Les voix sont celles des prophètes qui nous réveillent, et de notre conscience qui capte cet appel au réveil - mais ici c'est déjà trop tard...
Les tonnerres nous réveillent de notre somnolence - mais ici le réveil est rude...
Un grand séisme : la vérité qui secoue, qu'on s'est toujours refusé de voir face à face, est là - c'est le réveil tardif, la réalité s'impose - mais trop tard...
Tel qu'il n'y en a pas eu depuis que l'homme a paru sur la terre, un pareil séisme, aussi grand! : la conscience d'exister, qui survient à l'âge de 7 ans, est un grand séisme. Mais ce séisme est le plus grand de tous, de se trouver face à la réalité dans toutes ses dimensions.
On dit : Dieu nous prend comme nous sommes - oui, mais pour nous transformer...! Ici, il prend effectivement la grande ville telle qu'elle est, en trois morceaux (notre réalité : nous sommes corps/âme/esprit), mais non-régénérée : hommes se suffisant à eux-mêmes, cloisonnements entre corps/âme/esprit, d'où systèmes, sectes, etc. - et comme il est trop tard (jugement/tri), c'est Sa colère qui accueille la grande ville.
Notre réalité : tout en étant en plein dans le monde (mer), on est égoïstement installé dans notre chez-soi (île) - mais celui-ci s'éloigne, et il n'y a plus de refuge (montagnes). La bénédiction (eau) se change en malédiction (grêle) à cause de la froideur (le froid vient du nord, symbole de jugement).
Un Talent : charge que devrait assumer un homme béni, qui ici devient un poids de malédiction.
Tout au long de ce chapitre les hommes blasphèment - refusent d'obéir - alors que ce jugement/tri (en fait c'est eux qui se jugent eux-mêmes...) est le dernier : ils sont donc définitivement perdus, et ce texte doit nous servir d'avertissement.